Découvrez les projets certifiés Label bas-carbone de nos agriculteurs partenaires en France

ReSoil accompagne les agriculteurs dans leur transition vers une agriculture régénératice, bas-carbone et favorable à la biodiversité

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Les projets agricoles ci-dessous ont été labellisés par le Label bas-carbone et sont en cours de réalisation. Les tonnes CO2eq. affichées pour chaque projet sont estimées suite au diagnostic initial du début du projet.

La valeur définitive de l’estimation ne sera établie qu’après vérification par un auditeur indépendant et une décision administrative de vérification.

Cyrille - Charly-sur-Marne (02)

1031 tCO2eq. estimées

Erosion - -30% de risque d'érosion des sols de l'exploitation

"Localisée à Charly-sur-Marne, dans l'Aisne, à proximité des méandres de la Marne, l'exploitation de Cyrille est en transition vers l'agriculture régénératrice. Si cette transformation s'accompagne de coûts initiaux, notamment pour l'acquisition de nouvelles machines, et de risques à court terme, elle offrira à terme à Cyrille la possibilité de réduire sa dépendance aux engrais chimiques et d'accroître la résistance de ses sols aux aléas climatiques.

Les changements majeurs qui seront opérés dans les pratiques culturales incluent (i) une couverture plus importante des sols grâce aux couverts végétaux diversifiés pendant les périodes d'intercultures, notamment avant la plantation de betteraves et de pommes de terre, (ii) le remplacement progressif des engrais chimiques par des alternatives organiques, locales et propices à la restauration de la fertilité naturelle des sols, ainsi que (iii) la limitation du labour avant blé et l'adoption du semis direct pour le maïs, afin de préserver l'intégrité des sols."

49.0104452
3.3000735

Cyrille - Beaurepaire (02)

1392 tCO2eq. estimées

Erosion - Réduction du risque d'érosion des sols de ~40%

"Située sur la commune de Charly-sur-Marne à la limite entre l'Aisne et la Seine-et-Marne, l'exploitation de Cyrille s'engage dans une transition vers l'agriculture régénératrice. Bien que ce changement représente un coût initial (investissement en machine) et un risque à court terme, il permettra à Cyrille à moyen et long terme de diminuer sa dépendance aux engrais chimiques tout en renforçant la résilience de ses sols face aux changements climatiques.

Les principales modifications dans les pratiques agricoles qui seront mises en œuvre incluent (i) une couverture maximale des sols avec des couverts végétaux multi-espèces lors des intercultures longues avant betteraves et pomme de terres, (ii) le remplacement d'une grande partie des engrais chimiques par des engrais organiques sourcés localement, bénéfiques pour la fertilité naturelle des sols, ainsi que (iii) la limitation du labour sur les céréales à paille et le passage au semis direct afin de préserver la "santé" des sols."

49.0104453
3.3000736

Julie - Chalandry (02)

1717 tCO2eq. estimées

Energie -30% de la consommation d'énergie non renouvelable

"Julie est à la tête d'une exploitation en Grandes Cultures dans l'Aisne, située à 25 kilomètres au nord-ouest de Laon. Elle a repris cet exploitation en 2020 à côté de celle de son mari. Soucieuse de l'impact environnemental de son activité, elle a décidé d'adopter une approche bas-carbone et de se tourner vers des pratiques agricoles régénératives pour développer la fertilité naturelle de ses sols et réduire sa dépendance aux intrants de synthèse.

Dans le cadre de ce projet, Julie a pour ambition d'intensifier la biomasse produite par les couverts végétaux semés entre les cultures principales. Cette optimisation s'appuiera sur la diversification des espèces végétales présentes dans le couvert et sur un semis post-moisson. Dans une démarche visant à limiter le recours aux engrais chimiques, Julie va prendre trois mesures majeures : (i) augmenter les superficies dédiées à la culture de la féverole, une légumineuse capable de fixer l'azote atmosphérique et donc exemptée d'apports d'engrais azotés, (ii) remplacer partiellement les engrais chimiques par des engrais organiques locaux, enfouis lors de l'épandage. Enfin, elle prévoit de réduire le travail du sol en amont du semis des cultures de maïs et de colza, réduisant ainsi sa consommation de carburant."

49.6923206
3.3204922

Pierre-Louis - Chalandry (02)

3667 tCO2eq. estimées

Energie - Réduction de la consommation de ~15%

"Pierre-Louis est à la tête d'une exploitation familiale de l'Aisne, située à 25 kilomètres au nord-ouest de Laon. Il y cultive des céréales, de la betterave, du colza et des févéroles. Soucieux de l'impact environnemental de son activité, il a décidé d'adopter une approche bas-carbone et de se tourner vers des pratiques agricoles régénératives.

Pour ce faire, il envisage tout d'abord d'accroître la biomasse produite par les couverts végétaux semés lors des intercultures. Cette augmentation sera rendue possible en diversifiant les espèces présentes dans le couvert et en semant juste après la moisson à l'aide d'un semoir spécialisé. Afin de minimiser sa consommation d'engrais chimiques, Pierre-Louis a également pris trois grandes décisions : (i) augmenter les surfaces allouées à la culture de la féverole, une légumineuse qui fixe l'azote de l'air et ne nécessite donc pas d'apport d'engrais azotés, et (ii) substituer une partie des engrais chimiques par des engrais organiques issus de sources locales et enfouis au moment de leur épandage. Par ailleurs, il prévoit aussi de réduire le travail du sol avant le maïs et le colza cela réduisant ses besoins en combustibles."

49.6923205
3.3204923

Benoît - Le Château, Missy (02)

3234 tCO2eq. estimées

Eau - Réduction de la consommation en eau de ~10%

"L'exploitation en Grandes Cultures de Benoît est située dans l'Aisne à 20 kilomètres au Nord-Est de Laon. Il y cultive des céréales (blé et orge), des pommes de terre, des pois de conserve, des haricots ainsi que du tournesol. Il a décidé d'engager son exploitation dans une démarche bas-carbone en allant plus loin dans la mise en place de pratiques agricoles dites "régénératrices".

Tout d'abord il veut augmenter la biomasse produite par les couverts végétaux semés lors des intercultures en multipliant le nombre d'espèces dans le couvert et en semant juste après la moisson avec un semoir spécifique. Par ailleurs afin de réduire sa dépendance aux engrais chimiques il a décidé (i) d'augmenter ses surfaces de tournesol, une culture à faible besoin en azote, mais aussi de (ii) localiser l'azote (placer l'engrais au plus près de la graine pour réduire les besoins en apport) sur le maïs, le tournesol et les pommes de terre pour réduire de l'ordre de 20% les besoins en engrais, et enfin (iii) de remplacer une partie des engrais chimiques par des engrais organiques sourcés localement.

49.6336755
3.7824352

Benoît - Missy-lès-Pierrepont (02)

8696 tCO2eq. estimées

Eau - Réduction de la consommation en eau de l'exploitation de ~40%

"Benoît gère cette exploitation familiale située dans l'Aisne à 20 kilomètres au Nord-Est de Laon. Il y cultive des céréales, du tournesol, des pommes de terre, du pois et des haricots. Il souhaite engager son exploitation dans une démarche bas-carbone en allant plus loin dans la mise en place de pratiques agricoles dites "régénératrices".

Tout d'abord il veut augmenter la biomasse produite par les couverts végétaux semés lors des intercultures en multipliant le nombre d'espèces dans le couvert et en semant juste après la moisson avec un semoir spécifique. Par ailleurs afin de réduire sa dépendance aux engrais chimiques il a décidé (i) d'augmenter ses surfaces de tournesol, une culture à faible besoin en azote, mais aussi de (ii) localiser l'azote (placer l'engrais au plus près de la graine pour réduire les besoins en apport) sur le maïs, le tournesol et les pommes de terre pour réduire de l'ordre de 20% les besoins en engrais, et enfin (iii) de remplacer une partie des engrais chimiques par des engrais organiques sourcés localement."

49.6336754
3.7824351

Clarence & Benoît - Bassevelle (77)

1506 tCO2eq. estimées

Qualité de l'air - Réduction des émissions de particules fines de ~10%

"Clarence et son mari Benoît sont les deux gérants de cette exploitation en Grandes Cultures située en Seine-et-Marne à 30km à l'Est de Meaux. Ils y cultivent du blé tendre, de la betterave sucrière, du maïs mais aussi du lin pour la production textile. Ils souhaitent s'engager dans une démarche bas-carbone en allant plus loin dans la mise en place de pratiques agricoles dites "régénératrices".

Tout d'abord ils veulent augmenter la biomasse produite par les couverts végétaux semés lors des intercultures afin de favoriser le stockage de carbone dans les sols agricoles de leurs parcelles permettant aussi l'augmentation du taux de matière organique de ceux-ci. Pour cela ils veulent augmenter le nombre d'espèces semés dans leurs couverts et semé le plus tôt possible juste après la moisson. Par ailleurs, afin de réduire l'utilisation d'engrais azotés de synthèse ils prévoient de localiser l'azote (c'est à dire de placer l'engrais au plus proche de la graine au moment du semis pour maximiser l'efficacité de l'engrais) sur le maïs et la betteraves cela permettant de réduire de l'ordre de 20% les besoins en engrais pour ces cultures."

48.9277281
3.2856922

Bertrand & Thomas - Allemant (77)

2530 tCO2eq. estimées

Qualité de l'eau - Réduction de 20% des fuites de nitrates

"Bertrand, le père, et Thomas, le fils, gèrent ensemble une exploitation agricole en Grandes Cultures dans l'Aisne située à mi-chemin entre Compiègne et Reims. Sur leur exploitation ils cultivent du blé tendre, de l'orge, de la betterave, du colza mais aussi des pois, du lin fibres ainsi que des framboises sur 4000 m2 ! Bertrand & Thomas ont fait le choix d'engager leur exploitation dans une démarche d'agriculture régénératrice pour la rendre moins dépendant des engrais de synthèses, augmenter la fertilité naturelle de leur sol et améliorer la résistance de ceux-ci face aux aléas climatiques.

Leur transition va reposer sur 3 piliers :

Premièrement, ils souhaitent couvrir au maximum les sols avec des couverts végétaux lors des périodes d'intercultures longues cette pratique ayant un intérêt (i) agronomique en augmentant l'activité microbienne des sols et ainsi leur "santé", mais aussi (ii) environnemental les sols agricoles agissant alors comme des puits de carbone. Le second pilier consiste en l'insertion de légumineuses fixatrices d'azote dans le choix des espèces des couverts végétaux permettant ainsi de fertiliser naturellement les sols pour la culture d'après. Le dernier pilier repose sur l'utilisation accrue d'engrais organiques produits sur l'exploitation pour réduire la dépendance aux engrais de synthèse. Cela permettra aussi d'augmenter le taux de matière organique des sols et par conséquent de développer leur fertilité naturelle."

49.456608
3.4420241

Hugues - Chalandry (02)

5803 tCO2eq. estimées

Réduction du risque d'érosion des sols de ~15%

"L'exploitation en Grandes Cultures d'Hugues est située dans l'Aisne, à une quinzaine de kilomètres au Nord de Laon. Afin de développer la fertilité naturelle de ses sols, d'améliorer leur résistance aux aléas climatiques et de réduire ses besoins en engrais chimiques Hugues a décidé d'engager son exploitation dans une démarche bas-carbone.

Afin d'avoir une fertilisation raisonnée il souhaite introduire des légumineuses fixatrices d'azote dans sa rotation (féverole) et remplacer une partie des engrais chimiques par l'épandage d'engrais organiques sourcés localement. La couverture maximale des sols agricoles est aussi un de ses objectifs pour les années à venir via le développement des couverts végétaux et de cultures intermédiaires à valorisation énergétique (CIVE). Cela a un intérêt (i) agronomique en augmentant l'activité microbienne des sols et leur fertilité naturelle, mais aussi (ii) environnemental les sols agricoles agissant comme des puits de carbone."

49.6762457
3.6388372

Baptiste - Neuilly-en-Thelle (60)

2181 tCO2eq. estimées

Réduction du risque d'érosion des sols de ~50%

"Baptiste est agriculteur dans l'Oise. Son exploitation est située à une trentaine de kilomètres au Sud-Est de Beauvais. Afin de développer la fertilité naturelle de ses sols, d'améliorer leur résistance aux aléas climatiques et de réduire ses besoins en engrais chimiques il a décidé de mettre en place sur son exploitation des pratiques agricoles dites "régénératrices".

Pour réduire sa dépendance aux engrais chimiques, il souhaite introduire des légumineuses fixatrices d'azote dans sa rotation (pois d'hiver) ainsi que du tournesol, une culture à plus faible besoin en engrais. Il compte aussi remplacer une partie des engrais chimiques qu'il utilisait par des engrais organiques de provenance locale (digestat). La couverture maximale des sols agricoles est aussi un de ses objectifs pour les années à venir via le développement des couverts végétaux et de cultures intermédiaires à valorisation énergétique (CIVE). Cela a un intérêt agronomique en augmentant l'activité microbienne des sols et leur fertilité naturelle, mais aussi environnemental les sols agricoles agissant comme des puits de carbone. Enfin, Baptiste souhaite réduire le travail du sol sur son exploitation en passant au semis direct (absence du travail du sol avant le semis) pour le tournesol, le maïs et le colza."

49.2146002
2.2779981

Trapet - Semezanges (21)

1490 tCO2eq. estimées

Biodiversité : Arrêt de l'utilisation des pesticides

"Nicolas est agriculteur en Côte d'Or à 20 km au Sud de Dijon, il a pris la décision de se convertir à l'agriculture biologique. Il a du par conséquent revoir en profondeur ses pratiques culturales ainsi que la rotation des cultures sur son exploitation. Il a notamment introduit des légumineuses fixatrices d'azote servant "d'engrais vert" pour la culture d'après, allonger sa rotation culturale en introduisant de nouvelles cultures (triticale, luzerne) ainsi que développer les couverts végétaux lors des intercultures pour couvrir ses sols (limitant ainsi les adventices, développer leur fertilité naturelle et améliorer leur structure).

Ce projet bas-carbone est d'une durée de 5 ans, pour le climat ce sont ~1490 tCO2eq. en moins, soit l'équivalent de l'empreinte carbone annuelle d'à peu près 150 français !"

47.2142773
4.8530031

Valentin - Pogny (51)

1666 tCO2eq. estimées

Qualité de l'air : -50% des émissions de particules fines

"L'exploitation familiale de Valentin est située sur la commune de Pogny, dans la Marne, à une quinzaine de kilomètres au Sud de Châlons-en- Champagne. Celui-ci a décidé de convertir son exploitation à l'agriculture de conservation des sols (ACS), l'autre nom de l'agriculture régénératrice. Cette transition représentera un coût et un risque à court terme, mais lui permettra aussi à moyen/long terme de réduire sa dépendance aux engrais chimiques et d'améliorer la résistance de ses sols aux aléas climatiques !

Les principaux changements de pratiques à venir sont (i) la couverture maximale des sols avec des couverts végétaux lors des intercultures,(ii) la réduction de la fertilisation azotée et le changement de forme d'azote pour les engrais (passage à une forme solide moins émettrice en gaz à effet de serre) (iii) la réduction du travail du sol pour préserver la "santé" de ceux-ci."

48.858961
4.478495

Côme - Saint-Soupplets (77)

1442 tCO2eq. estimées

Eau - Réduction des besoins en eau de l'ordre de 25%

"En 2020, Côme a repris une exploitation agricole en Grandes Cultures située sur la commune de Saint-Soupplets, en Seine-et-Marne, à une dizaine de kilomètres au nord-ouest de Meaux. Celui-ci a décidé de mettre en place des pratiques liées à l'agriculture régénératrice sur son exploitation. Cette transition représentera un coût et un risque à court terme, mais lui permettra aussi à moyen/long terme de réduire sa dépendance aux engrais chimiques et d'améliorer la résistance de ses sols aux aléas climatiques !

Les principaux changements de pratiques à venir sont (i) la couverture maximale des sols avec des couverts végétaux lors des intercultures, (ii) le remplacement d'une grande partie engrais chimiques par des engrais organiques sourcés localement et favorables au développement de la fertilité naturelle des sols (digestat) ainsi que (iii) l'allongement de la rotation culturale permettant de diversifier ses cultures avec notamment l'introduction du tournesol, une culture qui n'a besoin que de peu d'engrais et de produits phytosanitaires."

49.0392308
2.8048396

Hadrien - Flacy (89)

1240 tCO2eq. estimées

Co-bénéfice principal : Biodiversité - Arrêt de l'utilisation des pesticides

"Hadrien est agriculteur sur une exploitation céréalière de ~116 ha située sur la commune de Flacy à mi-chemin entre Sens et Troyes. il a décidé de se convertir à l'agriculture biologique afin de ne plus être dépendant des produits chimiques. Cela a impliqué de revoir entièrement ses pratiques culturales ainsi que la rotation des cultures sur son exploitation. Il a notamment introduit des légumineuses fixatrices d'azote (luzerne, pois de printemps) servant "d'engrais vert" pour la culture d'après. Il a décidé de maximiser la couverture de ses sols en semant des cultures intermédiaires afin d'augmenter le taux de matière organique de ceux-ci et de développer leur fertilité naturelle tout en limitant la propagation des adventices lors de l'intercultures pour ne pas à avoir recours aux herbicides.

Avec ce projet d'une durée de 5 ans, ce sont 1240 tCO2eq. qui devraient être évitées ou séquestrées dans les sols agricoles soit l'empreinte carbone annuelle de ~125 français."

48.1974055
3.5685753

Pascal - Monthyon (77)

2785 tCO2eq. estimées

Co-bénéfice principal : Eau réduction des besoins en eau de l'exploitation de 15-20%

"Pascal a repris l'exploitation de sa belle-famille en Seine-et-Marne à 10 kilomètres au Nord de Meaux où il y travaille avec sa femme et un troisième associé. Il souhaite mettre en place sur son exploitations des pratiques liées à l'agriculture régénératrice afin de développer la fertilité naturelle de ses sols, d'améliorer leur résistance aux aléas climatiques et de réduire ses besoins en engrais chimiques. Il a donc engagé son exploitation dans une transition bas-carbone.

Premièrement, il souhaite réduire sa dépendance aux engrais de synthèse en les remplaçant par des d'engrais organiques (digestat notamment) sourcés localement cela permettant à la fois de fertiliser ses cultures mais aussi d'augmenter le taux de matière organique de ses sols ceci étant un indicateur clé de leur fertilité naturelle. La couverture maximale des sols de l'exploitation fait partie de ses objectifs principaux pour les années à venir grâce au développement des couverts végétaux multi-espèces et de cultures intermédiaires à valorisation énergétique (CIVE). Cette pratique a un intérêt (i) agronomique en augmentant l'activité microbienne des sols et ainsi leur "santé", mais aussi (ii) environnemental les sols agricoles agissant alors comme des puits de carbone."

49.003201
2.8267171

Jean-Marc - Sacquenay (21)

5717 tCO2eq. estimées

Co-bénéfice principal : Biodiversité - Zéro pesticides

"Jean-Marc gère une exploitation en grandes cultures située en Côte d'Or à Sacquenay à 40 km au Nord de Dijon. Il s'est converti à l'agriculture biologique en 2019 et souhaite maintenant aller plus loin dans sa transition bas-carbone en (i) développant de manière plus poussée la couverture de ses sols pendant l'interculture, (ii) diversifiant ses cultures avec la mise en place de cultures associées (céréales + légumineuses) et en utilisant plus d'engrais organiques.

En plus d'augmenter la fertilité du sol des parcelles agricoles ces les différentes pratiques misent en place devraient permettre de stocker ~5717 tCO2eq. sur la durée du projet soit l'empreinte carbone annuelle de ~577 français !

Au delà de l'aspect carbone, ce projet œuvrera aussi pour la régénération de la biodiversité grâce aux couverts végétaux favorables à la faune (notamment les abeilles grâce aux plantes méllifères) ainsi qu'une absence de perturbation des habitats naturels de par l'absence d'utilisation de pesticides."

47.5890178
5.3130332

Samuel - Lucenay-le-Duc (21)

826 tCO2eq. estimées

Co-bénéfice principal : Arrêt de l'utilisation des pesticides et des engrais chimiques

"En 2022, Samuel a repris à l'âge de 20 ans l'exploitation agricole familiale située sur la commune de Lucenay-le-Duc à 55km au Nord-Ouest de Dijon. Conscient des enjeux climatiques, il a décidé de se convertir à l'agriculture biologique. Cela a nécessité de revoir en profondeur les pratiques culturales ainsi que la rotation des cultures sur l'exploitation. Il a notamment introduit des légumineuses fixatrices d'azote servant "d'engrais vert" pour la culture d'après. Il a aussi choisi de maximiser la couverture de ses sols via le semis de trèfle sous couvert de blé cela permettant d'augmenter la matière organique de ses sols et de limiter la propagation des mauvaises herbes sans avoir recours à des herbicides chimiques. En parallèle de cette conversion bio il a décidé de se diversifier en développant une activité d'élevage de poulets en plein air.

Grâce à ce projet d'une durée de 5 ans, pour le climat ce sont ~826 tCO2eq. en évitées ou stockées dans les sols agricoles, soit l'équivalent de l'empreinte carbone annuelle de 83 français !"

47.6144939
4.5159447

Pierre-Antoine - Les Sièges (89)

1155 tCO2eq. estimées

Co-bénéfice principal : Biodiversité - Arrêt de l'utilisation des pesticides et des engrais chimiques

"L'exploitation de Pierre-Antoine est située dans l'Yonne à 45km d'Auxerre et de Troyes. Par conviction et afin de réduire sa dépendance aux engrais chimiques celui-ci a décidé de convertir son exploitation céréalière à l'agriculture biologique. Celui-ci a donc changé en profondeur ses pratiques culturales en modifiant sa rotation culturale et en introduisant des légumineuses fixatrices d'azote servant "d'engrais vert" pour la culture d'après.

Il a aussi choisi de maximiser la couverture de ses sols avec des couverts végétaux pour augmenter la matière organique de ses sols et par conséquent leur fertilité naturelle. Grâce à son poulailler de poules en plein air, il dispose sur son exploitation d'engrais naturels (fientes de poules) pour fertiliser ses cultures

Pour le climat ce sont 1155 tCO2eq. en moins dans l’atmosphère. Soit l'empreinte carbone annuelle de près de 120 français !"

48.169315
3.5260433

Charles - Mouflers (80)

1230 tCO2eq. estimées

Co-bénéfice principal : Réduction de 10 à 20% des besoins en eau de l'exploitation

"L'exploitation en grandes cultures de Charles est située à Mouflers dans la Somme, à mi-chemin entre Amiens et Abbeville. Sur les 110 hectares de l'exploitation, celui-ci souhaite mettre en place des pratiques agricoles liant à la fois intérêt agronomiques et environnementales pour améliorer la résistance de son exploitation aux aléas climatiques et réduire sa dépendance aux engrais chimiques.

Ces leviers concernent aussi bien la fertilisation azotée (utilisation de formes d'engrais minéraux moins émettrice, remplacement d'une partie des engrais minéraux pas des engrais organiques, fertilisation plus raisonnée sur le colza et la betteraves), que le stockage du carbone dans les sols via l'apport d'engrais organiques et le développement des couverts végétaux avant les cultures de printemps et d'été ainsi que celui des cultures intermédiaires à valorisation énergétique (CIVE) pour la méthanisation. Ces différents leviers devraient permettre de régénérer les sols de l'exploitation, d'augmenter la fertilité naturelle de ceux-ci grâce à une augmentation du taux de matière organique.

Ce projet d'une durée de 5 ans devrait permettre d'absorber 1232 tCO2eq. présent dans l'atmosphère soit l'équivalent de l'empreinte carbone annuelle de 124 français ! "

50.0438186
2.036006

Sébastien - Sacquenay (21)

1440 tCO2eq. estimées

Co-bénéfice principal : Biodiversité - Arrêt de l'utilisation des pesticides

"Sur son exploitation en grandes cultures située sur la commune de Sacquenay à 40km de Dijon, Sébastien a décidé de se convertir à l'agriculture biologique. Cela a nécessité de revoir en profondeur ses pratiques culturales ainsi que la rotation des cultures sur son exploitation.

Il a notamment introduit des légumineuses fixatrices d'azote servant "d'engrais vert" pour la culture d'après. Il a aussi choisi de maximiser la couverture de ses sols via le semis de trèfle sous couvert de blé cela permettant d'augmenter la matière organique de ses sols et de limiter la propagation des mauvaises herbes sans avoir recours à des herbicides chimiques.

Grâce à ce projet d'une durée de 5 ans, pour le climat ce sont ~1440 tCO2eq. en moins, soit l'équivalent de l'empreinte carbone annuelle de 146 français !"

47.5918408
5.3190104

Henri - Nouvion-et-Catillon (02)

1635 tCO2eq. estimées

Co-bénéfice principal : Qualité de l'air - ~15-20% de réduction des émissions d'ammoniac

"Henri a repris l'exploitation familiale située dans l'Aisne, à mi-chemin entre Saint-Quentin et Laon. Sur les 178 hectares en grandes cultures celui-ci a décidé de mettre en place des pratiques agricoles bas-carbone notamment en augmentant la couverture de ses sols et en réduisant sa dépendance aux engrais chimiques via l'apport d'engrais organiques. Il a aussi fait le choix d'allonger la rotation culturale de son exploitation en introduisant des légumineuses fixatrices d'azote (pois de conserves) pour diversifier ses cultures.

"Pour le climat ce sont 1635 tCO2eq. séquestrées dans les sols agricoles ou évitées soit l'empreinte carbone annuelle de 165 français !"

49.690191
3.4748443

Paul - Gesvres-le-Chapitre (77)

1940 tCO2eq. estimées

Co-bénéfice principal : Biodiversité - réduction de 15 à 20% de l'utilisation des pesticides

"L'exploitation de Paul est située à 10km au Nord de Meaux sur 276 hectares. Celui-ci souhaite allez plus loin dans la mise en place pratiques agricoles dites "régénératrices" notamment en maximisant la couverture de ses sols et en remplaçant une partie des engrais chimiques par des engrais organiques afin d'améliorer la santé de ses sols. Il prévoit aussi d'insérer des légumineuses dans son assolement (pois de conserve, haricots) afin de réduire sa dépendance aux engrais chimiques et de fertiliser naturellement les cultures suivantes.

Grâce à ce projet vertueux ce sont 1940 tCO2eq. qui seront stockées dans les sols de l'exploitation. C'est l'empreinte carbone annuelle de 196 français !"

49.0444387
2.8499531

Antoine - Villers-Saint-Genest (60)

2044 tCO2eq. estimées

Co-bénéfice principal : Biodiversité - Couverts végétaux sur ~60% de l'exploitation

"Antoine est agriculteur sur une exploitation de ~270 hectares dans l'Oise à 25 km au Nord de Meaux. Afin de réduire sa dépendance aux engrais chimiques et d'augmenter la fertilité de ses sols celui-ci souhaite mettre en place des pratiques agricoles dites "régénératrices". Il vise notamment de substituer une partie des engrais chimiques par l'apport d'engrais organiques tels que du digestat. Il veut aussi allonger sa rotation culturale en introduisant des légumineuses fixatrices d'azote (pois de conserves et haricots) ce qui constitue un autre levier pour réduire la dépendance aux engrais azotés de synthèse. La couverture maximale des sols via le développement de couverts végétaux avant les cultures de printemps telles que la betterave sucrière, les pommes de terre et l'orge brassicole de printemps est aussi l'un des objectifs d'Antoine sur son exploitation pour les années à venir."

Ce projet d'une durée de 5 ans devrait permettre d'absorber 2044 tCO2eq. présent dans l'atmosphère soit l'équivalent de l'empreinte carbone annuelle de 206 français !"

49.144289
2.9057404

Pascal - May-en-Multien (77)

2444 tCO2eq. estimées

Co-bénéfice principal : Biodiversité - réduction de 10 à 20% de l'utilisation des pesticides

"L'exploitation de Pascal se situe dans la commune de May-en-Multien à 20km au Nord-Est de Meaux. Afin de développer la fertilité naturelle de ses sols et de réduire ses besoins en engrais chimiques Pascal prévoit d'augmenter ses apports en engrais organiques (digestat) et de développer des cultures intermédiaires aussi appelées couverts végétaux. Les apports d'engrais organiques devraient lui permettre de ne plus apporter d'engrais chimiques avec du phosphore et du potassium sur ses sols et de réduire ses besoins en engrais azotés de synthèse de plus de 20%. Le développement de la culture du tournesol, une culture à faible besoins en engrais azotés et pesticides devrait aussi permettre de réduire la dépendance aux intrants de synthèse.

Grâce à ce projet d'une durée de 5 ans ce sont 2444 tCO2eq. retirées de l'atmosphère et séquestrées dans les sols agricoles soit l'équivalent de l'empreinte carbone annuelle de 246 français !"

49.0705679
3.022022

Anne-Marie - Moussy-le-Vieux (77)

2698 tCO2eq. estimées

Co-bénéfice principal : Eau - Réduction de ~40% des besoins en eau de l'exploitation

"Anne-Marie travaille avec son fils Guillaume sur leur exploitation familiale située à proximité de l'aéroport Charles de Gaulle. Afin d'augmenter la fertilité naturelle des sols de leur exploitation ils ont décidé de mettre en place un ensemble de pratiques agricoles vertueuses. Le 1er pilier de leur transition consiste en l'arrêt du labour et la réduction du travail du sol pour ne pas déranger les microorganismes qui font "la vie du sol". La couverture du sol grâce aux cultures intermédiaires et l'épandage d'engrais organiques sourcés localement vont permettre de réduire la dépendance aux engrais de synthèse ainsi que d'augmenter le taux de matière organique des sols. De plus cela permettra d'améliorer leur résistance aux aléas climatiques.

Pour le climat ce projet devrait permettre en 5 ans d'enlever 2698 tCO2eq. de l'atmosphère et de les séquestrer dans les sols agricoles participant ainsi à la lutte contre le changement climatique. Cela correspond à l'empreinte carbone annuelle de 271 français."

49.044165
2.6208601

Guillaume - Lagny-le-Sec (60)

5514 tCO2eq. estimées

Co-bénéfice principal : Eau - Réduction de 20% des besoins en eau de l'exploitation.

"Sur son exploitation familiale située dans l'Oise à 20km au Nord de Meaux, Guillaume a décidé de suivre les principes de l'agriculture régénératrice. Les premiers leviers qu'il souhaite mettre en place sur l'exploitation sont la réduction du travail du sol sur l'ensemble des cultures, la couverture maximale des sols grâce aux cultures intermédiaires ou dérobées ainsi que la substitution des engrais chimiques, dont la production est très émissive en gaz à effet de serre (utilisation de gaz ou extraction minière), par des engrais organiques sourcés localement.

D'ici septembre 2027 ce projet devrait permettre de séquestrer 5514 tCO2eq. dans les sols agricoles. Cela correspond à l'empreinte carbone annuelle d'un quart de la commune de Lagny-le-Sec sur laquelle est située l'exploitation."

49.0632685
2.7343603

Augustin - Celle-Levescault (86)

6205 tCO2eq. estimées

Co-bénéfice principal : 10 à 20% de réduction de l'utilisation des pesticides

"Il y a 4 ans, Augustin a repris l'exploitation familiale en polyculture élevage située à 30km au Sud de Poitiers dans la Vienne. Ayant déjà réduit le travail du sol sur l'exploitation celui-ci souhaite allez plus loin dans les pratiques agricoles dites "régénératrices".

Premièrement, il veut diversifier ses cultures en introduisant des légumineuses tels que du lupin et des pois protéagineux cela lui permettant de réduire sa dépendance aux engrais azotés synthétiques. Grâce à l'agrandissement de son troupeau de vaches et de son élevage de poulet en plein air il va pouvoir apporter plus d'engrais organiques sur ses parcelles et réduire encore plus son utilisation des engrais chimiques. Il souhaite aussi maximiser sa couverture des sols en développant des couvert végétaux multi-espèces permettant d'augmenter le stockage de carbone dans le sols tout en développant leur fertilité naturelle.

Grâce à ce projet d'envergure ce sont 6025 tCO2eq. évitées ou séquestrées dans les sols de cette exploitation de 300 hectares. Soit l'empreinte carbone annuelle de 609 français !"

46.402568
0.1569103

Rémi - Vinantes (77)

4170 tCO2eq. estimées

Co-bénéfice principal : Réduction de l'érosion des sols de l'ordre de 20%

"L'exploitation en grandes cultures de Rémi est située à Vinantes à une trentaine de kilomètres au Nord-Est de Paris. Afin de développer la fertilité naturelle de ses sols, d'améliorer leur résistance aux aléas climatiques et de réduire ses besoins en engrais chimiques Rémi a décidé d'engager son exploitation de 290ha dans une démarche bas-carbone.

Afin d'avoir une fertilisation raisonnée il souhaite introduire des légumineuses fixatrices d'azote dans sa rotation et remplacer une partie des engrais chimiques par l'épandage d'engrais organiques (digestat). La couverture maximale des sols agricoles est aussi un de ses objectifs pour les années à venir via le développement des couverts végétaux et de cultures intermédiaires à valorisation énergétique (CIVE). Cela a un intérêt agronomique en augmentant l'activité microbienne des sols et leur fertilité naturelle, mais aussi environnemental les sols agricoles agissant comme des puits de carbone.

Ce projet d'une durée de 5 ans devrait permettre d'absorber 3500 tCO2eq. de l'atmosphère et de les stocker dans les sols agricoles ainsi que d'émettre 670tCO2eq. de moins sur l'exploitation soit un total de 4170 tCO2eq. évitées ou stockées pour la lutte contre le changement climatique !"

49.0116885
2.7331029